La corruption dictatoriale devrait être traitée comme une question de sécurité internationale et non comme une question économique ou simplement éthique, propose P. Conesa. Les pays le plus exposés à la corruption sont ceux qui sont le plus proche de l’écroulement : Afghanistan, Pakistan… Or la sécurité de demain n’est plus la tenue de l’ensemble de la planète par des régimes autoritaires alliés, mais plutôt l’apparition de « zones sans Etat » où s’installent foyers terroristes, crime organisé, trafics d’êtres humains et trafic de drogues. Le sujet devrait donc entrer dans l’agenda de l’OTAN ou de l’Europe de la défense.

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